FranceActive : Fitness et Activités de plein air :
Nous relayons ici le communiqué du syndicat patronal « France Active » sur le développement agressif d'une enseigne low-cost et libre-service sur le territoire national.
L'APS2PF, au sein de la fédération UNSA 3S, a toujours œuvré pour la crédibilisation et la valorisation de l'encadrement, par des actions (courriers, dépôts de plainte, rappels à la loi, ...) qui restent inconnues, ou méconnues, de la plupart des professionnels et du grand public. Nos initiatives ont toujours été dirigées vers la clarification et l'adéquation des compétences nécessaires à une qualité de service cohérente, dans le cadre d'une spécialisation de nos activités sur le créneau du sport santé.
Durant la dernière décennie notre profession, et son contexte d'exercice, n'ont cessé de s'affaiblir, baisse du niveau des certifications pour devenir diplômé, et précarisation des conditions de travail. La valeur des compétences d'un bon éducateur sportif s'est vue concurrencée par la valeur de la surabondance de matériel.
Si nous pouvions « tolérer » la présence d'établissements libres services et low-cost, sans coachs et offrant peu de prestations de services, comme une option dans une offre variée. Le risque de l'hégémonie d'une seule forme de prestations, d'une seule forme d'encadrement, d'une seule manière de travailler, au sein d'une seule et même enseigne, est en totale opposition avec la vision que nous avons de nos professions.
La disparition de lieux de pratique à dimension humaine, en présence d'éducateurs confirmés, au détriment d'immenses entrepôts de matériels sans âmes, n'est pas l'avenir que nous envisageons pour nos activités. A cet égard, l'APS2PF, et la fédération UNSA 3S, soutiennent l'action du syndicat France Activ dans sa volonté de vouloir maintenir une offre de prestations, dans une concurrence saine et équilibrée, permettant une évolution sereine et pérenne des professionnels dans l'exercice de leurs métiers.
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Edouard Philippe a fait sa rentrée politique ce jeudi matin sur BFMTV et RMC. Le Premier ministre est apparu un peu hésitant face à Jean-Jacques Bourdin, alors qu'il était très attendu sur les questions économiques: la CSG, les cotisations sociales, la taxe d'habitation ou encore la réforme du droit du travail. "Je ne suis pas un surhomme, je n'ai pas tous les chiffres en tête", s'est par exemple justifié le chef du gouvernement, qui était interrogé sur des dossiers comme les pensions de retraite ou l'augmentation de la prime d'activité. - Pour en parler: Jean-Noël Barrot, député MoDem des Yvelines, vice-président de la commission des finances. Emmanuel Lechypre, éditorialiste BFM Business. François Miquet-Marty, président de Viavoice. Et Luc Bérille, secrétaire général de l'Unsa.
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